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 Qui veut gagner des awards ?

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Krevur

Krevur


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MessageSujet: Qui veut gagner des awards ?   Qui veut gagner des awards ? EmptyLun 15 Mai 2023 - 18:16

Awards 1986-1987 : passage en revue des candidats à une vague de la fin



La fin de saison arrive et avec elle le moment que tout le monde attend : les playoffs les récompenses individuelles. Alors, qui va gagner quoi ? Voici un panorama des candidats.



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Nous allons commencer, logiquement, par les trophées qui... seront dévoilés en dernier, à savoir ceux qui seront votés par les GM. Et pour commencer, celui qui les concerne directement.


GMOY :

Difficile ici de dégager un favori. Si l'on regarde le tenant du titre, Karlson, et ses deux dauphins, His Airness et Dedz, ils restent bien placés, mais n'ont pas ajouté grand-chose à leur roster. Karlson et His Airness ont légèrement régressé au classement et donc ne retrouveront probablement pas le podium. Quant à Dedz, le champion en titre, son bilan a augmenté, mais c'est surtout dû aux mouvements de la saison précédente. Difficile donc de lui donner un trophée qu'il n'a pas eu l'an dernier.

Globalement, la plupart des équipes de tête n'ont pas touché à grand-chose (Buck, Bob et Dams ont bougé dernièrement, mais les trades n'ont pas encore vraiment produit d'effets). Quant à ceux qui ont été actifs à la FA et/ou sur le marché des transferts, comme Baudelaire et Krevur, ça n'a pas franchement été couronné de succès.

Il y a quand même quelques exceptions à ces deux constats : La première, c'est Alex, qui avait déjà une belle équipe les deux années précédentes, et qui a passé la seconde en ameutant le surprenant Sam Bowie. Résultat, les Pacers passent du statut d'outsiders à celui de leader et favori.

La seconde, c'est Slam, qui a été l'un des plus actifs sur les trades avec l'arrivée du duo Sampson-Thomas-Kellogg, et qui est bien parti pour augmenter son bilan d'une quinzaine de victoires et décrocher ses premiers playoffs. Seulement, la baisse de régime des Hornets début avril met légèrement en doute cette participation à la post-season et vient ternir un bilan qui était jusqu'ici beaucoup plus clinquant. La dernière vague sera décisive autant pour les Playoffs que pour sa possible nomination à un award.

Enfin, il y a celui qui était jusqu'ici plus connu pour son amour de son prochain que pour ses résultats : Mike K. Le GM des Bucks, qui venait déjà d'enchainer 2 qualifs de suite en PO, a fait franchir un cap à son équipe par petites touches : la signature à moindre coup de Bobby Jones par exemple, ou encore l'ajout de Joe Barry Carroll. Si ce dernier mouvement a été décrié au vu du risque qu'il implique pour l'avenir, il pourrait néanmoins faire des Bucks un vrai contender pour les deux années à venir.


Le trophée John Paxson MIP

L'award qui déchaîne les débats, et comme d'hab, on a foule de candidats. Beaucoup de joueurs ont augmenté leurs stats, mais pour beaucoup, cela s'explique par un plus gros temps de jeu ou le passage d'une équipe compétitive à une autre de fond de tableau. On va en retenir quelques-uns qui dérogent, au moins partiellement, à la règle.

D'abord, on a Jeff Malone. Alors, son temps de jeu a augmenté, certes, mais pas énormément, et son équipe a dégraissé pour jouer la draft, mais n'est pas non plus à des années lumières de son niveau de l'an passé. Et la progression statistique est elle assez impressionnante avec trois fois plus de points marqués en moyenne, et ce avec une meilleure adresse.

Quintin Dailey, lui, a changé de crèmerie, mais pas vraiment pour les bas-fonds, même si la compétition féroce à l'est ne devrait pas lui permettre de disputer les Playoffs. Augmentant son scoring de plus de 6pts en partageant la gongle avec 3 gars capable de scoreur (4 depuis l'arrrivée de Porter), le tout avec un des meilleurs FG% de la ligue, il a des arguments probants. Sa moyenne passerait même de 17.8 à 19.3ppg sans le fail de la V7.

Enfin, comment ne pas citer World B Free et sa progression surprise à 30 ans. Replacé en meneur, il a connu une progression statistique moins impressionnante que les deux pré-cités, mais accompagnée de résultats en hausse pour son équipe. Cela dit, sa saison précédente était une baisse de régime et il était déjà All-Star il y a deux ans.

Rookie of the year

Moins de suspense ici, même si la cuvée a plutôt été une bonne surprise. On attendait plus de certains éléments comme Petrovic ou Hornacek, mais d'autres se sont montrés, tels Duckworth, Bias, Harper ou encore Tarpley, dans les équipes de bas de tableau. Seuls trois ont vraiment contribué chez des équipes qui jouaient quelques chose, même s'ils sont bien partis pour tous louper la post-season. Arvydas Sabonis, Mark Price et Brad Daugherty. Le troisième est peut être le steal de la draft, mais semble un ton en dessous. D'autant que les deux autres se partagent toutes les recompenses de rookies du mois.

Mark Price score peu, mais s'est déjà affirmé comme un des meilleurs playmakers de la ligue et a été un des principaux contributeurs au surprenant parcours des Knicks, toujours en course pour les Playoffs, ce qui lui a valu d'être rookies du mois en

Enfin, le premier choix de la draft, le géant Arvydas Sabonis, s'impose sans surprise comme le grand favori en étant meilleur marqueur, rebondeur, contreur et troisième intercepteur chez les rookies. Après un début de saison un peu délicat en termes d'adresse, il est monté en puissance pour devenir l'arme n°1 des Bullets, au point d'être trois fois rookie du mois mais aussi une fois joueur de la semaine en février. Le trophée de ROY semble lui tendre les bras.

Defensive player of the year

Surdominé par le géant des Pacers, Mark Eaton, ces deux dernières années, le vote du DPOY pourrait être un peu plus serré que d'habitude. Et pour cause, le king de la bâche n'est plus le meilleur contreur de la ligue!

C'est le jeune Hakeem Olajuwon, 2nd defensive team l'an passé, qui monte en puissance et lui prend la place. Un changement qui se doit autant à sa progression qu'à la baisse statistique du grand Mark, désormais 2eme ex-aequo au classement avec une autre référence défensive, l'ex-Sonics et champion Wayne Cooper, qui a partagé sa saison entre les Bullets et les Lakers.

De là à imaginer Eaton détroné? On ira pas jusque là. Car s'il domine moins les classements statistiques, c'est aussi parce qu'il partage désormais la machine à crêpes avec Sam Bowie. Et il reste le fer de lance absolu de la très très largement meilleure défense de la ligue, là où les prouesses d'Hakeem se retranscrivent moins au niveau collectif. Quant à Cooper, il ferait un beau DPOY s'il n'y avait pas Eaton. Mais il y a Eaton. Quoi qu'il en soit, le résultat devrait être plus serré que les années précédentes.



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Most Valuable Player



Écartons d'emblée John Paxson, qui n'est pas un joueur à awards. On peut aussi éliminer quelques joueurs qui ont brillé individuellement, sans réellement que ça se matérialise par des victoires.

Michael Jordan pourrait connaître ses premiers Playoffs, mais ce n'est pas suffisant pour en faire un candidat crédible. Sans parler de Do Wilkins qui lui fait le show pendant que le reste de son équipe se place pour la lottery.

À l'inverse, chez les deux leaders de conférence, c'est le collectif qui prime et il est difficile de dégagee un joueur assez dominant. Charles Barkley est ce qui s'en rapproche le plus, mais le MVP des finales en titre a encore un cap à franchir avant de pouvoir prétendre au trophée suprême.

Alors c'est plutôt du côté des outsiders qu'il faut aller chercher. Pas de surprise en realité : on retrouver les mêmes favotid que les années passées : Moses Malone et Larry Bird.

Le premier s'était un peu perdu en route l'an passé, mais a retrouvé son statut d'intérieur le plus dominant de la ligue et ses Celtics s'affichent comme de sérieux contenders, en embuscade dernière Indy.

Et puis, bien sur, comment ne pas citer le double lauréat en titre, Larry Bird. Certes, les Cavs sont moins fringants que l'an passé, mais il restent un solide outsiders, et Larry Legend semble juste trop dominant pour me pas réaliser le triplé. Meilleur scoreur de la ligue, incroyable shooteur et présent dans tous les secteurs du jeu, il est une fois de plus l'immense favori. Pourtant, certains critiques se font entender : doit-on vraiment donner un troisième trophée consécutif à un homme qui n'a toujours pas su mener son equipe au titre ? (coucou Jokic). Aux votants de voir si cer argument est probant. Et surtout quelles alternatives ils ont.


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Krevur

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MessageSujet: Re: Qui veut gagner des awards ?   Qui veut gagner des awards ? EmptyMar 16 Mai 2023 - 17:46

Bon premier constat, complètement zappé le 6ème homme, complètement zappé Magic de la course au MVP, et le bilan défensif de l'équipe ne pèse absoument pas pour le DPOY :p

baudelaire et Dedz aiment ce message

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